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crayon à papier

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crayon à papier
29 novembre 2008

Le sexe fait parti du jeu de la vie (selon moi)

La vie est un jeu.

Le sexe en est une case inévitable, ou devrais-je dire presque inévitable pour quelqu’un d’ « humain ». Cette case est en fait un jeu dans le jeu. Un jeu dont nous sommes maîtres, un jeu qui n’a pas de fin.

Tout d’abord, nous en entendons parler, nous sommes bien entendu curieux (pour l’instant), puis nous le découvrons. Ensuite, nous fixons les règles petit à petit selon notre personnalité de joueur, elles nous sont propres. Celles ci peuvent être simples, farfelues, extraordinaires ou sans limites, peu importe, elles nous correspondent et nous somme seuls à les déterminer. Un jeu où nous pouvons jouer d’autant de manières que notre imagination a de limites. Seul le joueur les impose. Au début, nous commençons pour la majorité à deux joueurs. Selon notre décision, le nombre peut varier de un à plus de quatre. L’humain peut aussi choisir un détour par la voix animale (peu courant) ou sauvage. Nous n’osons pas essayer de jouer les yeux fermés, l’imagination libre et les sens vagabonds. Nous nous référons souvent au « déjà vu » ou « déjà connu ». Mais le jeu le plus commun, restant le moins joueur, est banal, basique et prévisible.

Le sexe a des règles comme tout jeu. Mais il y en a certaines qui n’en sont pas, que la peur ou la méfiance, autant que l’éducation, contraint à bon nombre d’entre nous à garder sans oser les transgresser. Erreur ! La nature nous a offert la curiosité, le pouvoir d’intelligence, non pas pour rien.

Comment peut-on fixer les règles de ce jeu ? On les fixe à l’instinct, en hydratant la soif de notre savoir.

Quel est le but de ce jeu ? Le but de ce jeu est le plaisir de se faire plaisir et de donner du plaisir…

Bon jeu !

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29 novembre 2008

Retour

Me voilà de retour, l'humeur écrivaine est revenue ce soir. J'en profites pour glisser un texte (assez brouillon) d'une idée m'etant venue après une série débile.

Bonne visite

11 juin 2008

Toi seul en décides

C’est pourquoi mon cœur s’agite …

Aussi longue que sera ma vie mon esprit se forgera. Une définitive métamorphose évoluant lentement, selon les impulsions furtives de mon esprit. Partie d’une banalité et touchant bientôt à sa fin, elle accroche ses trophées au fin fond de mes pensées. Derrière elle, des particules de son histoire future. Une par une, je voulue les ranger précieusement dans mon esprit, afin que je puisse les examiner attentivement. Nul doute, mon inconscient les qualifia de mauvais présages. En effet, ce que je croyais être un gentil petit lézard muta en un énorme alligator.

Nous sommes tous un jour ou l’autre exposés à des choix, nous remettant en question, nous faisant revenir sur terre et nous blessant. Nous ne prenons pas toujours le temps de penser aux conséquences, souvent couvés par nos proches. Mais le jour où la réalité fait face à nous, le choix est désormais entre nos seules mains.

C’est ici que, livrée à moi-même, j’utilise donc mes connaissances. Ma lassitude à combattre, me possédant, fût aussitôt chassée par le combattant lui-même. Alors, agrippant l’épée qu’il me tendait, je compris aussitôt que les particules abandonnées de ma métamorphose n’étaient pas tombées par hasard entre mes mains. Ce fût chacun de ces souvenirs qui dérobèrent le sol sous mes pieds. Un choix crucial, étant seule à en décider.

C’est ainsi que mon cœur s’agite …

20 avril 2008

Ballerine

Ballerine


Une ballerine : crayon de papier, crayons de couleurs et pastels secs.


Pour Charlen.

Je suis contente des mains elles sont réussi (ma faiblesse !), soyez indulgent c'est la première fois que j'ose mettre de la couleur sur du crayon à papier...

17 avril 2008

Coquelicot

Coquelicot034

Pastels secs -> un 1er essai

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30 mars 2008

La mort

montage

           Ce n'est pas quelque chose qui m'attire, non, seulement j'y pense de temps en temps. Je me suis souvent demander quel effet cela pourrait faire de voir mon cadavre.. Je pense que je ne supporterais pas cette image. Pourquoi la mort nous préoccupe-t-elle tant ? Parce qu'elle est si imprévisible, si inattendue et si inconnue. Nous essayons tant bien que mal d'inventer ce qui la suit, probablement rien, mais ceci est mon opinion.

ce montage est ma propre création

25 mars 2008

Psittacisme Paternel

Au plus bas...
On se bat contre soi-même pour remonter.
Arrivé au Zénith de la joie, la joie incarnée, on se fait détruire le moral par son paternel.
Arriver à surmonter le mal-être, profiter enfin de l'apprentissage, réussir, mais toujours démystifié par son père.
Je ne me considère pas (ou plus) comme une rebelle, pourtant il le faut pour pouvoir surmonter le quotidien une fois rentrée à l'habitat promit.
On est heureux, parce que notre inconscient prescrit de l'être.
Dompter la pire douleur, comprendre ce qu'est d'être en vie, ce qu'est la joie de vivre.
Pourquoi notre bonheur ne suffit il jamais aux parents ? Ils veulent qu'on ressemble à ce qu'ils veulent, non ce que nous somme.
Je dis non !
J'aurais la force, la même qui m'a permise d'être joyeuse, elle m'aidera à lutter contre mon proche.
Pourquoi faut il être obliger d'en arriver là ?
Des dires si "psittacistes", si incompréhensibles...
La génération du "tais toi, acquiesce".
Belle lurette que nous la revendiquons !
Je continue le duel acharné, pour but : être heureuse, le rester...

Confidences publique. 2 ans à en tirer.

23 mars 2008

Guitarra

guitarra022

Je dirais juste que quand je veux, je peux.

4 mars 2008

Liberta - Pep's

Tu sais qu'y'a un bateau
qui mène au pays des rêves ?
Là bas où il fait chaud,
où l'ciel n'a pas son pareil.
Tu sais qu'au bout d'cette terre,
oui les gens sèment des miliers d'graines de joie
comme pousse ici la haine.
On m'avait dit p'tit gars,
là bas on t'enlève tes chaines,
on t'donne une vie sans t'jeter dans l'arène,
comme ici, tout petit,
après 9 mois à peine,
on te plonge dans une vie
où tu perds vite haleine.
Alors sans hésiter j'ai sauté dans la mer
pour rejoindre ce vaisseau et voir enfin cette terre.
Là bas trop de lumière,
j'ai dû fermer les yeux,
libertarien que les odeurs
remplissaient tous mes voeux.

I just wanna be free in this way,
i just wanna be free in my world.
Vivere per liberta,
vivere nella liberta.

Alors une petite fille aussi belle que nature
me prit par la main et m'dit : "suis cette aventure".
On disait même oui que la mer l'enviait,
que la montagne se courbait pour la laisser passer.
Elle m'emena au loin
avec une douceur sans fin,
ses p'tits cadeaux et dégager ce parfum
qui, depuis des années, guidaient ce chemin,
ton chemin, mon chemin, le chemin.

I just wanna be free in this way,
i just wanna be free in my world.
Vivere per liberta,
vivere nella liberta.

Pour arriver enfin à ces rêves d'enfants
qui n'ont pas de limites comme on a maintenant,
j'ai vu des dauphins nager dans un ciel de coton
et des fleurs voler caressant l'horizon.
J'ai vu des arbres pousser remplassant les gratte-ciel
et au fond de l'eau une nuée d'irondelles.

I just wanna be free in this way,
i just wanna be free in my world.
Vivere per liberta,
vivere nella liberta.

18 février 2008

Ainsi soit-Elle

(...)

               La Plainte c'est comme un manifestant,

            Ça ne fait jamais rien avancer.

            Pourquoi ce besoin je le ressens

            Qui s'entête à vivre contre mon grès ?

            Mais un optimisme omniprésent

            M'empêche d'en être condamné.

            Que voyez vous en me regardant,

            Plutôt faiblesse ou fragilité ?

                                                                             (...)

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